Un road movie qui donne envie de se réconcilier avec le temps qui passe. Pourquoi ? Parce que ces ados attardés nous rappellent forcément le copain gluon de la bande, à la loose indéfectible qui nous entraînait (entraîne ?) dans des plans foireux à 5h du mat après la sortie en boîte en pleine campagne.
Voilà. Mais eux en ont fait un art de vivre, tellement qu’on se demande comment ils ont réussi à survivre jusqu’à maintenant.
Ben d'ailleurs... le chanteur du groupe punk rock meurt dans d’atroces
souffrances. En fait non : stupidement et c’est toute l’histoire.
L’équipée brinquebalante décide de lui rende hommage… et ça va pas être
facile, c’est la loi de Murphy qui l’affirme. Cette loi est le ressort
comique de bon nombre de films mais ici elle distille une petite dose
surréaliste made in Belgium.
Alors oui le rythme est inégal, mais pour au moins deux énoooormes passages inénarrables – l’atterrissage de l’avion et le voyage en train – dont je ne raconterai, donc, rien, cela vaut le coup d’œil et deux oreilles.
La bande de potes, c’est la famille qu’on se choisit alors on partage tout, mais on garde aussi nos secrets. Voilà le cœur du film. Ces deux réalités s’entrechoquent, l’intime et l’histoire commune.
Bref, une belge story qui n’est pas linéaire, avec de la bonne musique inside, de bons acteurs (Bouli Lanners) et de la vraie tendresse qui sent la sueur et la bière.
Je suis mort mais j’ai des amis, de Guillaume et Stéphane Malandrin, Juillet 2015
Alors oui le rythme est inégal, mais pour au moins deux énoooormes passages inénarrables – l’atterrissage de l’avion et le voyage en train – dont je ne raconterai, donc, rien, cela vaut le coup d’œil et deux oreilles.
La bande de potes, c’est la famille qu’on se choisit alors on partage tout, mais on garde aussi nos secrets. Voilà le cœur du film. Ces deux réalités s’entrechoquent, l’intime et l’histoire commune.
Bref, une belge story qui n’est pas linéaire, avec de la bonne musique inside, de bons acteurs (Bouli Lanners) et de la vraie tendresse qui sent la sueur et la bière.
Je suis mort mais j’ai des amis, de Guillaume et Stéphane Malandrin, Juillet 2015
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