Junior
nous ayant entrainé au cinéma voir son héros (enfin l'un de ses héros)
préféré(s), nous nous attendions - un peu - à dormir pendant une bonne
heure mais le charme a opéré. Les ficelles sont bien sûr aussi énormes
que des troncs d'arbre mais pour un bambin de 4 ans ça fonctionne sans
nul doute et amuse relativement les parents dévoués et aimants. Comme
j'avais raté les 2 premières minutes pour cause d'une envie de pipi à
régler, je me suis dis que j'allais enfin pouvoir les voir avec la
vidéo. C'est donc chose faite, et fallait pas les rater, Nicolas
"l'Embrouille" est le héros de ce film, à part égale avec Sam, or le
début du film le laisse bien entrevoir... Et j'ai enfin pu apprécier la
qualité du montage dans toute son intégralité ! D'autre part, j'ai fait un heureux quand le colis est arrivé... la vie est bien faite.
Rédactrice presse papier et web, option caméléon de l'écriture, toujours prête à dégainer ma plume.
samedi 2 septembre 2017
vendredi 2 décembre 2016
Relever le niveau scolaire commence par la maternelle, non ?
A ce petit jeu, je vais finir par griller tous les pops corn, et le dernier pop ce sera pour le final du spectacle pyrotechnique, un gros flop peut-être même... En attendant la dernière saucisse sur le grille, j'ai encore donc quelques cartouches et l'envie d'en découdre.
Voilà j'ai pondu un truc qui ressemble à une immense interrogation sur le bien-être scolaire de nos rejetons chéris.
Je vais commencer par une lettre d'amour à l'attention des enseignants et ATSEM :
"Amis professeurs ne lisez pas cet article comme une critique à l'égard de votre métier... au contraire, ce métier est passionnant et si nous sommes amis, c'est qu'en plus je sais que vous vous battez pour offrir le meilleur à nos enfants.
Vous utilisez pour beaucoup d'entre vous des outils dits "alternatifs", vous cherchez, vous êtes curieux, vous essayez d'appliquer en classe certaine méthodes. J'en suis convaincue et je le vois, dans la classe de mon fils, pour commencer, dans celles des autres, ensuite, pour avoir beaucoup discuté avec d'autres parents. C'est sûrement un métier ingrat car il vous manque des moyens, peut-être même pour certains une latitude, et je crois que c'est là problème. Certes, il y a le programme... et puis il y a nous les parents. Des électrons libres difficiles à canaliser, et certainement casse-pieds !
Nous, avec nos désirs de voir nos enfants heureux d'aller à l'école.
C'est ici que je m'étonne : pourquoi ne voit-on pas plus d'enfants
joyeux d'aller à l'école, par envie, non pour la cour de récré et leurs
copains - ça c'est ce qui permet de les motiver - mais pour la classe
elle-même ?
(Aïïïe, j'attends les coups de bâtons...mais pas trop fort hein, je ne me pose que des questions)"
Le reste se passe donc par ici :
Du potentiel gâché en maternelle ?
(Aïïïe, j'attends les coups de bâtons...mais pas trop fort hein, je ne me pose que des questions)"
Le reste se passe donc par ici :
Du potentiel gâché en maternelle ?
samedi 19 novembre 2016
Un jour, le grand jour, je me lance !

Journal cyclothymique d'une ado attardée
A la bourre !
Alors, qu'est-je fait depuis la rentrée de septembre ?... oui nous sommes en novembre. Il y a autant de failles temporelles que de micro-climats, c'est-à-dire qu'il y en a autant que de marseillais pécheurs de poissons gros comme ça. Je dirais même plus, il y a plusieurs failles temporelles au sein de ma propre maison. Salle de bain, salon, chambre. Non, il n'y en a pas dans la cuisine. Peu.
Bon dans l'ordre j'ai réalisé une résolution de rentrée : faire un truc pénible par jour.
Ni plus, ni moins.
Je ne compte pas bien sûr le boulot, qui est forcément source d'enrichissement sur tous les plans, ni l'entretien de l'enfant, c'est-à-dire sa sustentation, voire son lavage, ses soins et amour prodigués.
Comme je n'emploie pas "sustentation" tous les jours - et l'on devrait - j'ai vérifié et je me suis souvenue que la sustentation en dehors du fait de nourrir un estomac, est l'effet d'une force qui "maintient un corps à faible distance au-dessus d'une surface et sans contact avec elle".
Bon dans l'ordre j'ai réalisé une résolution de rentrée : faire un truc pénible par jour.
Ni plus, ni moins.
Je ne compte pas bien sûr le boulot, qui est forcément source d'enrichissement sur tous les plans, ni l'entretien de l'enfant, c'est-à-dire sa sustentation, voire son lavage, ses soins et amour prodigués.
Comme je n'emploie pas "sustentation" tous les jours - et l'on devrait - j'ai vérifié et je me suis souvenue que la sustentation en dehors du fait de nourrir un estomac, est l'effet d'une force qui "maintient un corps à faible distance au-dessus d'une surface et sans contact avec elle".
Et me voilà donc toute guillerette, le 29 août remplissant ma corvée du jour, à
savoir le nettoyage du frigo, à l'idée que mon fils en pleine lévitation
magnétique le long d'un rail filant à 603 km/h pourrait faire
l'aller-retour en Ardèche en deux heures.
Ce fut donc UNE résolution de rentrée. Pas deux. La faille temporelle a emporté la deuxième.
Ensuite il y a eu la rentrée de junior. Cela a été assez marrant. Sa première rentrée donc accompagnée de la
question existentielle du jour : comment allais-je pouvoir assortir Théodore à mes chaussures, pour la rentrée le premier septembre ?
Au matin du premier jour j'avouais avoir prouvé que j'aimais les défis. (En même temps, j'ai la chance d'avoir un fils qui va avec tout).
Le 2 Septembre, ce fut donc le deuxième jour d'école... Et là : ça s'est corsé.
La maitresse n'a jamais vu ça. Hurlement en si mineur pour un chœur de 19 agneaux sur 25. Dont le mien, faisant partie des hautes-contre. Certains ouvraient la porte pour s'échapper. J'en ai récupéré un dans le couloir. D'autres parents tentaient le placage. La cuvée 2013 est sauvage.
Du coup on se demande un peu se que font les 6 autres... Soit ils sont sourds, soit ils sont aphones ou apathiques, soit ce sont les loups !
Je rigole, je rigole, n'empêche qu'en passant devant les fenêtres de sa classe 5 minutes après, le niveau sonore n'avait pas vraiment baissé. Je ris moyennement en fait.
Je pense qu'on pourrait proposé aux enseignants de distribuer du xanax à 10 h.
Autant les parents qui pleuraient c'était la veille, autant là on avait plutôt affaire à des parents rugbymen tachant de marquer l'essai avec l'enfant-ballon derrière la barre de seuil de la salle de classe, puis essayant de refermer la porte avant qu'ils ne tentent de s'y faufiler.
Il a bien fallu un mois avant que junior arrête de dire que la maîtresse était trop méchante et méritait la prison.
Depuis il s'est fait une bande de copains policiers ou pompiers volontaires qui arrosent dans la cour de récré les méchants monstres avec des pommes de pin. Enfin je comprends pas tout, mais ça a l'air rigolo.
Il y a eu plus tard quelques rhumes, des ballades chez les grands-parents, une visite au zoo ("le même qui passe à la télé regarde maman")... De là à dire que nous vivons dans un zoo, il n'y a qu'un pas. J'ai même pas mal bossé, fait quelques articles.
Et puis un truc est arrivé en novembre. Voilà on y est encore...
Ce fut donc UNE résolution de rentrée. Pas deux. La faille temporelle a emporté la deuxième.

question existentielle du jour : comment allais-je pouvoir assortir Théodore à mes chaussures, pour la rentrée le premier septembre ?
Au matin du premier jour j'avouais avoir prouvé que j'aimais les défis. (En même temps, j'ai la chance d'avoir un fils qui va avec tout).
Le 2 Septembre, ce fut donc le deuxième jour d'école... Et là : ça s'est corsé.
La maitresse n'a jamais vu ça. Hurlement en si mineur pour un chœur de 19 agneaux sur 25. Dont le mien, faisant partie des hautes-contre. Certains ouvraient la porte pour s'échapper. J'en ai récupéré un dans le couloir. D'autres parents tentaient le placage. La cuvée 2013 est sauvage.
Du coup on se demande un peu se que font les 6 autres... Soit ils sont sourds, soit ils sont aphones ou apathiques, soit ce sont les loups !
Je rigole, je rigole, n'empêche qu'en passant devant les fenêtres de sa classe 5 minutes après, le niveau sonore n'avait pas vraiment baissé. Je ris moyennement en fait.
Je pense qu'on pourrait proposé aux enseignants de distribuer du xanax à 10 h.
Autant les parents qui pleuraient c'était la veille, autant là on avait plutôt affaire à des parents rugbymen tachant de marquer l'essai avec l'enfant-ballon derrière la barre de seuil de la salle de classe, puis essayant de refermer la porte avant qu'ils ne tentent de s'y faufiler.
Il a bien fallu un mois avant que junior arrête de dire que la maîtresse était trop méchante et méritait la prison.
Depuis il s'est fait une bande de copains policiers ou pompiers volontaires qui arrosent dans la cour de récré les méchants monstres avec des pommes de pin. Enfin je comprends pas tout, mais ça a l'air rigolo.
Il y a eu plus tard quelques rhumes, des ballades chez les grands-parents, une visite au zoo ("le même qui passe à la télé regarde maman")... De là à dire que nous vivons dans un zoo, il n'y a qu'un pas. J'ai même pas mal bossé, fait quelques articles.
Et puis un truc est arrivé en novembre. Voilà on y est encore...
mardi 14 juin 2016
Souvenir d'une visite : la Cohue, Musée des Beaux Arts de Vannes.
Va falloir que je retourne à Vannes. Parce que j’ai complètement foiré
le cliché d’un diptyque de Geneviève Asse. Peut-être impossible à
photographier.
C’est un musée étonnant que celui de la « Cohue » dont la partie la plus ancienne date du 13ème siècle. Un rez-de-chaussée roman (le passage entre la place Saint-Pierre et la rue des Halles accueille une expo de photos contemporaines très bien foutue), plein de salles, pleins de recoins, des niches, des gravures plus loin et de vieilles presses boursouflées de boulons, dentelées d’écrous, aux rouleaux qui sentiraient presque encore l’encre.
Puis la star nous accueille, Delacroix et sa crucifixion, panneaux alentours pour signaler un scandale académique. Objet du scandale : la Marie Madeleine, les seins prêts à dégoupiller de sa robe rouge ! Voilà, une autre époque. Me suis cognée ensuite sur toute une série de marines. J’aime pas les marines, cependant j’ai découvert Geneviève Asse. Que je ne classerais pas en fait parmi les peintres de marines. Elle peint des horizons, son bleu délimite un espace, celui du ciel, celui de la mer. Pour moi c'est net. Il n’y a rien de moins ambigu que la mer ou que le ciel, le liquide ou le gaz, il n’y a que notre regard qui vacille, la vue que l’on perd, les sens qui s’échappent, mais ni le sol ni même l’eau aussi fluide et vaporeux soient-ils, ne se posent en terme d’éléments ambigus. Oui nos sens sont fragiles, en équilibres, dupés par nos émotions, oui la signification s’égare, se modifie, sans cesse, mais ce qui n'a pas de conscience n’est pas fragile, il s’érode, on le saccage, il se transforme. Nous y transposons notre peur de la disparition de la lumière, ou l'émerveillement des apparitions lunaires. Les humains, les artistes ajoutent la magie et le trouble à la nature aussi bouillonnante qu'elle puisse paraître reste nette, précise dans son dessein : suivre les lois physiques.
Ce ne sont pas ses peintures de bleus et d’horizons
que j’ai le plus aimés, c’est le monumental diptyque blanc (pas 1 gramme de bleu
dans cette œuvre) du fond, du bout, qui m’a scotchée. Celui qui a
achevé ma visite un peu trop rapide. Achevée, cueillie, arrachée.
J’avais sans doute besoin de me poser un peu après tous ces étalages de
marées hautes et basses attachés à rendre plus vrai. Ma pause kit et
Kat, plantée devant une toile qui recouvre le temps et ses traces comme
autant de vieilles affiches superposées puis retirées ou des fantômes de
tableaux avec leurs marques jaunies ou grisées laissées sur le papier
peint. Deux toiles collées bord à bord, une simple étendue sans limite
simulée huilée de blanc. Et puis sur la partie gauche des souvenirs
subtils, des lézards de temps qui zèbrent l’écran. Les Langoliers de Stephen King qui
grignotent. Voici une toile souvenir d’aucune plage, une carte postale
vierge. Débarrassée de tout kitsch. Silencieuse sur plus de
quatre mètres, et humble. Je n’y ai pas lu de questions, pas de
naturalisme déloyal, une conséquence logique de cette exposition permanente, une boucle bouclée. Il n’y a pas de
mer ici. Pas même un ciel. Juste du temps érodé et l’empreinte humaine.
Actualités du Musée
Photographies provenant du site des amis du musée de Vannes.
C’est un musée étonnant que celui de la « Cohue » dont la partie la plus ancienne date du 13ème siècle. Un rez-de-chaussée roman (le passage entre la place Saint-Pierre et la rue des Halles accueille une expo de photos contemporaines très bien foutue), plein de salles, pleins de recoins, des niches, des gravures plus loin et de vieilles presses boursouflées de boulons, dentelées d’écrous, aux rouleaux qui sentiraient presque encore l’encre.
Puis la star nous accueille, Delacroix et sa crucifixion, panneaux alentours pour signaler un scandale académique. Objet du scandale : la Marie Madeleine, les seins prêts à dégoupiller de sa robe rouge ! Voilà, une autre époque. Me suis cognée ensuite sur toute une série de marines. J’aime pas les marines, cependant j’ai découvert Geneviève Asse. Que je ne classerais pas en fait parmi les peintres de marines. Elle peint des horizons, son bleu délimite un espace, celui du ciel, celui de la mer. Pour moi c'est net. Il n’y a rien de moins ambigu que la mer ou que le ciel, le liquide ou le gaz, il n’y a que notre regard qui vacille, la vue que l’on perd, les sens qui s’échappent, mais ni le sol ni même l’eau aussi fluide et vaporeux soient-ils, ne se posent en terme d’éléments ambigus. Oui nos sens sont fragiles, en équilibres, dupés par nos émotions, oui la signification s’égare, se modifie, sans cesse, mais ce qui n'a pas de conscience n’est pas fragile, il s’érode, on le saccage, il se transforme. Nous y transposons notre peur de la disparition de la lumière, ou l'émerveillement des apparitions lunaires. Les humains, les artistes ajoutent la magie et le trouble à la nature aussi bouillonnante qu'elle puisse paraître reste nette, précise dans son dessein : suivre les lois physiques.

Actualités du Musée
Photographies provenant du site des amis du musée de Vannes.
Libellés :
Ballad'nco,
Mes yeux et mes oreilles aiment
dimanche 22 mai 2016
Le premier marché des Jeunes Créateurs du Mans
![]() |
Layonne Don-G (Photos Nan Heurley) |
J'ai pu notamment apprécier le travail photographique de Greg "Layonne Don-G" Lamori-Cochi que je ne connaissais pas encore. Le jeune homme a bénéficié l'année dernière du coup de pouce du Service Jeunesse pour son projet "Contrastes".
« J'aborde différentes formes de discriminations à travers ces clichés. Je souhaitais confronter les idées reçues par rapport à l'éducation ou le groupe d'appartenance. Cette exposition, c'est ma façon de fermer les yeux sur les différences », se confiait-il à Ouest France en septembre 2015.
Les cadres entre les mains des photographiés induisent et inspirent le respect, la tolérance. Littéralement je te présente, tu me présentes, nous posons ensemble donc nous co-existons l'un à l'autre. Je-tu-nous. Page Facebook.
![]() |
Willy Bihoreau à gauche - Ecole et atelier Schlum (Photos Nan Heurley) |
Des artistes en herbe exposaient pour la première fois peintures, sculptures... D'autres plus confirmés regroupés au sein d'ateliers, comme l'atelier Schlum présentaient leur travail en live. "Schlum" comme Schlumberger, Gustave, le directeur de l'école, artiste notoire du Mans qui a ouvert une autre école à Paimpol. Page Facebook
L'occasion également de re-voir le travail hybride de Willy Bihoreau qui propose différentes techniques (peintures, photo, retouches et montages Photoshop) pour exposer sa vision post apocalyptique du monde. Grise, voire morbide, en tous les cas une prise de conscience de ce que nous pourrions être ou nous sommes déjà. Page Facebook.
Bref, un bon moment que l'on peut découvrir aussi sur la page de Vitav, le webzine des jeunes Manceaux
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samedi 14 mai 2016
Mon ouragan, mon cataclysme, ma tempête
J'étais dubitative au début. Question rentabilité c'était pas ça. Et
même pire, car le retour sur investissement n'avait pas l'air d'être
dans l'air du temps du tout du tout. Bon c'est vrai on a quelques je
t'aime et câlins. En fait quand un enfant veut apprendre, il casse.
Alors on rachète. Il questionne, alors on répond. Un investissement en
temps colossal.
Et faut pas compter les réveils nocturnes où tout le monde se réveille, puis où tout le monde se rendort, sauf toi, la mère. Ah et pis les matins, là faut trouver des astuces pour combler les 3 longues heures (et demi, voire) qui nous séparent des 9 h, l'heure de la crèche. Donc on lance des muffins ultra matinaux, il patouille, il nomme les choses, re-demande les noms des choses, re-re-re demande, il renverse, il répare un peu, je répare beaucoup, il s'énerve parce qu'il veut faire tout seul. Je m'énerve parce qu'il veut faire tout seul en renversant autant qu'il peut.
Et faut pas compter les réveils nocturnes où tout le monde se réveille, puis où tout le monde se rendort, sauf toi, la mère. Ah et pis les matins, là faut trouver des astuces pour combler les 3 longues heures (et demi, voire) qui nous séparent des 9 h, l'heure de la crèche. Donc on lance des muffins ultra matinaux, il patouille, il nomme les choses, re-demande les noms des choses, re-re-re demande, il renverse, il répare un peu, je répare beaucoup, il s'énerve parce qu'il veut faire tout seul. Je m'énerve parce qu'il veut faire tout seul en renversant autant qu'il peut.
Et un jour on perçoit l'utilité, la globalité qui efface les colères
contenues et les temps d'impatiences bouillonnantes. Bref, le dessein
final. Aujourd'hui je peux lui demander de ranger le papier toilette
dans la salle de bain quand on rentre des courses ou je lui demande de
trouver mon volumateur express noir quand je me mascaraboute top
chrono et il nettoie la table basse après l'avoir débarrassée et avant
de mettre pause sur la télécommande afin de nous attendre pour le
plateau télé.
Aujourd'hui j'envisage de lui apprendre la maitrise des plaques de cuissons, l'épluchage et le tranchage des légumes. On verra pour l'ouverture des boîtes de pâtées du chat, il pourrait se faire embobiner par le trop vorace félin. On aurait un jardin, je lui aurais enseigné l'art de la tondeuse à gazon.
Je t'aime mon fils caca boudin prout (tu vois t'es pas le seul à dire des gros mots) qui grandit.
Aujourd'hui j'envisage de lui apprendre la maitrise des plaques de cuissons, l'épluchage et le tranchage des légumes. On verra pour l'ouverture des boîtes de pâtées du chat, il pourrait se faire embobiner par le trop vorace félin. On aurait un jardin, je lui aurais enseigné l'art de la tondeuse à gazon.
Je t'aime mon fils caca boudin prout (tu vois t'es pas le seul à dire des gros mots) qui grandit.
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